lundi 19 novembre 2007
mardi 9 octobre 2007
Rien à déclarer...I got fucking busted...
Est ce que les rêves prémonitoire, les signes tout ça, ça existe?
Nan, mais parce que là je me pose beaucoup de questions.
Voilà, dimanche soir, dans le train revenant des Pays Bas et vingts minutes avant d'arriver à Paris, je me suis faite choper par la douane, vous vous doutez bien pourquoi.
Néanmoins, ça s'est plutôt bien passé, et je ne peux rien reprocher à l'équipe sur laquelle je suis tombée, il faut avouer qu'ils ont été aussi sympa que ça leur était possible.
A vrai dire j'étais pas vraiment ce qu'ils cherchaient et limite ça les faisait chier de me tomber dessus.
Ils ont tout arrangé et une heure et une amende de 50€ plus tard, j'étais chez moi et sans l'angoisse de la moindre poursuite où conséquence plus dramatique à l'horizon.
Mais passons, pour revenir au sujet initial, le truc, c'est que de ça j'en avais rêvé il y a trois quatres semaines.
Bon, évidemment c'était pas ressemblant trait pour trait, sinon ça serai trop facile.
En fait je faisais le voyage en avion et je voyais plusieurs fois des équipes en uniforme assez vaguement mais je passais je passais jusqu'au dernier moment ou un contrôle inopiné me prenait par surprise et c'était fini je me suis réveillée là dessus.
Quand j'ai ouvert les yeux, les images du rêve ont persisté sur le fond de ma rétine et les émotions ressenties ne m'ont pas lâchée de la journée.
Des rêves comme ça quand j'en fait c'est big shit, après non seulement t'en a pour la journée a avoir le bide tordu comme si c'était déjà arrivé, mais en plus tu la passe à te demander si t'es pas un fucking weirdo.
Ben oui, parce qu'évidemment, c'est jamais des trucs très marrants hein, sinon ce serai pas rigolo voyez vous, moi j'ai droits aux accidents, aux situations douloureuses ou stressantes, bref, un vrai bonheur.
Et puis des fois c'est vachement en avance, par exemple, le coup de Fifi avec la meilleure amie/cousine tout ça, je l'ai rêvé y'a au moins deux ans et demie.
Alors à l'époque où c'était le "big love" comme disent les jeunes d'aujourd'hui, je ne risquai pas d'y croire une fraction de seconde.
Même si toute la journée après était aussi horrible que les mois qui ont suivi la concrétisation du rêve de merde.
Où sinon des fois, des accidents d'avion. Ca c'est le plus fréquent, et c'est aussi le pire a rêver.
C'est la crise cardiaque à chaque fois.
J'ai pas peur de l'avion, mais dans le rêve si. Et l'avion se crashe, inévitablement.
Sauf que les rêves prémonitoires et toutes ces conneries, ben c'est pas scientifique, c'est des conneries, voilà.
Alors quoi?
Fucking Weirdo or not?
En tout cas moi on ne m'y prendras plus.... . . .
Posté par Ablep autour de 19:27 4 Comme en l'air
Rangé dans: CHRONIKS ON ZE FUNNY SIDE OF ZE STREET, CRISES DE TÊTE, SEX DRUGS AND ROCK N'ROLL
mardi 25 septembre 2007
Les Bêtises
J'ai mangé tout le chocolat ...
J'ai tout bu le Whisky Coca...
J'ai tout coupé tous mes cheveux.
J'ai pris un rasoir, un air déterminé, et puis mèche par mèche, j'ai ratiboisé la crinière rousse.
Un plein sac poubelle de boucles cuivrées plus tard, j'ai le choix entre
ça:
et ça (avec le même T shirt mais sans la guitare et le public qui te kiffe...[-_-]):
selon que je babylisse, où non.
Mais, ça fait du bien le changement.
Posté par Ablep autour de 14:43 7 Comme en l'air
mardi 18 septembre 2007
Janis Joplin - Me & Bobby McGee
Bobby thumbed a diesel down just before it rained,
It rode us all the way to New Orleans.
I pulled my harp on out of my dirty red bandanna,
I was playing soft while Bobby sang the blues.
Windshield wipers slapping time, I was holding Bobby's hand in mine,
We sang every song that driver knew.
Freedom's just another word for nothing left to lose,
Nothing don't mean nothing honey if it ain't free, now now.
And feeling good was easy, Lord, when he sang the blues,
You know feeling good was good enough for me,
Good enough for me and my Bobby McGee.
From the Kentucky coal mines to the California sun,
Hey, Bobby shared the secrets of my soul.
Through all kinds of weather, through everything we done,
Hey Bobby baby? kept me from the cold.
One day up near Salinas, Lord, I let him slip away,
He's looking for that home and I hope he finds it,
But I'd trade all of my tomorrows for one single yesterday
To be holding Bobby's body next to mine.
Freedom is just another word for nothing left to lose,
Nothing, that's all that Bobby left me, yeah,
But feeling good was easy, Lord, when he sang the blues,
Hey, feeling good was good enough for me, hmm hmm,
Good enough for me and my Bobby McGee.
La la la, la la la la, la la la, la la la la
La la la la la Bobby McGee.
La la la la la, la la la la la
La la la la la, Bobby McGee, la.
La La la, la la la la la la,
La La la la la la la la la, hey now Bobby now Bobby McGee yeah.
Na na na na na na na na, na na na na na na na na na na na
Hey now Bobby now, Bobby McGee, yeah.
Lord, I'm calling my lover, calling my man,
I said I'm calling my lover just the best I can,
C'mon, hey now Bobby yeah, hry now Bobby McGee, yeah,
Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lord
Hey, hey, hey, Bobby McGee, Lord!
Yeah! Whew!
Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lord
Hey, hey, hey, Bobby McGee.
Je me sentais aussi délavée que mon jean
Bobby a stoppé un diesel, juste avant qu'il se mette à pleuvoir,
Il nous a conduit tout droit jusqu'à la Nouvelle Orléans.
J'ai sorti ma harpe de mon bandana rouge dégueulasse,
Je jouais doucement pendant que Bobby chantait le Blues,
Les essuies glaces donnaient le tempo, je tenais sa main dans la mienne,
On a chanté toutes les chansons que le conducteur connaissait.
Liberté n'est qu'un synonyme de n'avoir plus rien à perdre
Rien ne signifie pas rien, si ce n'est librement.
Etre bien était si facile quand Bobby chantait le Blues,
Et être bien était suffisant pour moi,
Pour moi et pour mon Bobby McGee
Des houillères du Kentucky au soleil de Californie,
Bobby a partagé les secrets de mon âmes,
A travers tous les temps et tout ce qu'on a vécu,
Bobby m'a protégée du froid.
Un jour, près de Salinas, je l'ai laissé partir
Il cherchait ce foyer accueuillant et j'espère qu'il l'a trouvé
Mais j'échangerais tous mes lendemains, pour un seul et unique hier,
Pour sentir le corps de Bobby collé au mien,
Liberté n'est qu'un synonyme de n'avoir plus rien à perdre,
Rien, et c'est tout ce que Bobby m'a laissé,
Mais être bien était si facile quand Bobby chantait le Blues,
Et être bien était suffisant pour moi,
Suffisant pour moi et mon Bobby McGee
La la la, la la la la, la la la, la la la la
La la la la la Bobby McGee.
La la la la la, la la la la la
La la la la la, Bobby McGee, la.
La La la, la la la la la la,
La La la la la la la la la, hey now Bobby now Bobby McGee yeah.
Na na na na na na na na, na na na na na na na na na na na
Hey now Bobby now, Bobby McGee, yeah.
Je l'ai appelé mon amant, je l'ai appelé mon ami,
Je l'ai appeké mon amant, j'ai fait du mieux que j'ai pu,
C'mon, hey now Bobby yeah, hry now Bobby McGee, yeah,
Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lordy Lord
Hey, hey, hey, Bobby McGee, Lord!
Yeah! Whew!
Posté par Ablep autour de 20:07 0 Comme en l'air
vendredi 14 septembre 2007
Devil actually wears Prada / Rage against the fucking system
La vie c'est monstrueux, mais y'a un truc qu'est faux, c'était pas mieux avant, ça à toujours été affreux. C'est juste que c'est affreux pas pareil suivant l'époque.
De nos jours, pour s'en sortir, pour vivre sans survivre, comme aiment le dire les ados qui se la jouent désabusés sans avoir la plus petite idée de ce qui les attends (sinon ils se flingueraient vraiement, au lieu de suivre la mode du poète dépressif de mes deux), eh ben faut être vraiment prêt à se battre.
Mais c'est pas se battre comme une fille.
C'est tout donner, c'est tout sacrifier, c'est se fixer ses propres priorités et assumer tout le temps quoi qu'il en coûte après.
Mon sacrifice perso, c'est de la gnognotte, et pourtant, à ce moment précis, je suis encore un peu secouée par ce que je viens de comprendre.
Trois putain de pauvres années de merde, mais qu'est ce que c'est, quand on pense que c'est le prix a payer pour ne pas galérer toute sa vie comme ses parents, ou comme soi même en ce moment.
Ok, ma galère n'est pas vraiment situé au niveau financier, mais d'une certaine façon si.
Parce que pour avoir un niveau de vie un peu au dessus de la moyenne des étudiants, je sacrifie ma vie tout court. Mais pour trois ans seulement.
Sacrifice qui me garantit que grâce à mon innébranlable volonté de fer (non, je ne me vante pas), un jour, je n'aurai pas de patron.
Le patron ce sera moi.
Quand on sait enfin ce qui nous attend, on comprend pourquoi y'en a qui se flinguent, on comprend pourquoi on se défonce, on comprend tout court, et plus on comprend, plus on se rend compte qu'il n'y a pas d'issue, et plus on est tenté de sombrer dans l'autodestruction.
OU on peut décider d'affronter le truc.
Oh bien sur, ce n'est pas valable pour tout le monde. Il y en a qui ont un truc qui s'appelle la chance (rare) et puis il y a ceux qui ont un talent inné. Et puis y'en à d'autre qui ont des supers parents qui leurs donnent pas envie de se tirer de chez eux à 16 ans, et qui par conséquent, peuvent faire le truc progressivement et pas tout en même temps.
Pour les autres, les comme moi, ceux qui ne sont pas doués de naissance, qui ont des parents supers sur pleins de trucs, mais qui leur ont quand même donné envie de se barre à 16 ans, ben y'a la Guerre Mondiale perso.
Le grand combat quoi.
Sauf que c'est un truc, c'est comme le saut en parachute, faut pas penser quand tu saute, sinon tu le fais pas.
Parce qu'une fois lancé, tu peux plus revenir en arrière.
Ou peut être que si, mais c'est pas forcément intérressant.
C'est un peu vague peut être, et comme je n'ai pas d'autre exemple là tout de suite que moi même, et aussi que c'est mon lampadaire sur lequel je me soulage, je vais (encore) parler de moi.
Mon but, c'est d'être libre un jour.
En grandissant j'ai compris que la liberté, dans mon cas, et sans doute dans celui de beaucoup d'autres, c'est d'avoir du temps et de l'argent simultanément.
Et c'est un luxe.
Parce que c'est presque un cercle vicieux.
Avoir du temps, à la base, c'est pas hyper compliqué. Si on fait rien.
Mais, si on fait rien, on n'a pas d'argent, et le temps libre, ça sert à quoi si on ne peut rien en faire, pusiqu'à notre époque on ne peut rien faire sans argent.
Et puis, pour avoir cet argent, ben faut sacrifier son temps.
Ben oui, logique.
Pour avoir les deux, faut être arrivé haut.
Il faut il faut il faut.
Le verbe "falloir" implique inévitablement la contrainte, donc le contraire de la liberté.
Cercle vicieux je vous dis.
Concilier tout ça nécessite donc forcément que l'activité qui nous nourrisse nous laisse suffisament de liberté et nous épanouisse un minimum.
Quand on finit enfin par avoir une vague idée de ce que l'on veut faire de sa vie, ou qu'au moins on sait ce que l'on ne veut pas faire, c'est là que ça devient chaud.
Pour ma part (et oui, moi je, moi je), j'ai décidé qu'être architecte serait un bon point de départ.
Je serais mon propre patron, je gagnerai bien ma vie sans risques ni sacrifices inconsidérés.
Il était donc question de faire les études pour, le premier stade étant le fucking BTS Design d'Espace.
Prix de l'indépendance que j'ai braquée à 16 ans: il fallait que je m'assume.
Par un cynique hasard, j'ai perdu une bonne grosse tranche de famille, et en revandant leur maison, ma mère a pu m'offrir un appartement et les trois ans d'école.
C'est une chance comme ce n'en est pas une. Qui a envie que ce soit la mort de sa famille qui lui offre un avenir? Mais en même temps, cracher dans la soupe ça ne se fait pas.
Donc pas de plainte, je vous le dis, la vie et le destin forment un couple cynique.
Sauf qu'à partir de là, ben l'appartement, faut y coller des meubles, et puis vaut mieux aussi pouvoir manger à sa faim pour être efficace et productif.
Donc la décision fut prise que les études, ce serait par correspondance, pour que je puisse travailler a temps complet le jour et remplir mon ventre et mon appart.
Et bien sur, étudier la nuit, le week end, et les vacances.
Au bout d'un an de calvaire d'éxpériences professionelles plus où moin décevantes, l'occasion d'un job intérressant se présenta enfin.
Des responsabilités, une réelle utilité, enfin, j'allai pouvoir montrer qui j'étais.
Naïve. Voilà tout ce que j'étais.
Aujourd'hui j'ai enfin pris conscience des responsabilités dont j'ai hérité en voulant et acceptant mon job actuel.
Ma vénérée et adorée chef me l'a dit elle même: c'est un cadeau empoisonné.
Cette femme est extraordinaire. Elle force l'admiration.
Ma chef, c'est l'assistante du PDG.
Assistante. Comme ça, ça à l'air con, les gens pensent qu'on ets plus ou moins secrétaire sans saisir le réel sens du mot.
Donc, cette honorable femme avait déjà pas mal morflé, et voulait avoir un bébé.
Elle m'engageait donc en plus de mes qualifications contractuelles pour me former afin que je puisse la remplacer au pied levé quand son rêve se réaliserait enfin.
Pendant cinq mois, je travaillais dur et me donnais à 100% et tentai de faire mes preuves.
J'y parvenais, et on me faisait allègrement savoir qu'on appréciait mes efforts.
Elle tomba enfin enceinte.
A partir de ce moment, je savais que les choses allaient évoluer.
Je n'imaginais juste pas à quel point.
Je n'avais pas idée de l'étendue de ses fonctions, donc aucune idée de celles qui m'incomberaient tantôt.
Depuis ce soir, à cause d'une urgence profesionnelle qui m'a traumatisée depuis 20h30, je sais.
Le cadeau empoisonné.
Je n'ai plus de vie désormais. Le PDG attent tout de moi, et ma chef encore plus, parce que c'est le bon déroulement de sa grossesse et aussi un peu de sa crédibilité qui sont en jeu.
Je sais depuis tout à l'heure que pour un PDG de cet acabit, il n'y a pas de distinction entre le boulot, et la vie.
Qu'en tant que son assistante, je vais devoir suivre, et l'assister au sens propre pour tout et pour rien. Même le soir, le week end, tout le temps.
Depuis deux mois, en cumulant études et boulot, je dors cinq heures par nuit.
Ma vie sentimentale est un désastre, mais inutile de rêver, je n'ai de toute façon pas de temps pour ça.
Toute futilité à disparu de mon horizon.
Appartement, Travaux, Banque, Boulot, Avenir, Etudes, et Soucis en général sont tout ce à quoi je pense.
Je n'ai plus le temps de rêver.
Merde.
J'ai été bouffée par le putain de système.
Mais je ne me plains pas, je vous le jure. En tout cas j'essaye, parce que c'est comme ça que je le niquerait de l'intérieur, ce fucking système.
Si je tiens le coup ces trois pauvres petites années, je vivrai dans mon propre système.
J'aurai gagné.
Posté par Ablep autour de 22:30 5 Comme en l'air
jeudi 13 septembre 2007
Big Shit, No Chief...
Once upon a time
there was an Indian tribe,
with a Big Chief, and also a wizard,
like each and every Indian tribe.
But one day, it happened
that the chief could not shit anymore.
He was constipation suffering.
So the wizard tried several charms and cures,
but none of them resolved the problem.
Then the wizard had to go to the chemistry
to save his chief.
He entered the chemistry
and said in his approximative english:
- Doctor, Doctor, Help !!! Big Chief : No Shit !
So the doctor gave him some laxatives for the Big Chief.
But it didn't work well.
The Big Chief spend three more
days without being able to defecate.
So, the wizard returned to the chemistry, and said:
- Doctor, Doctor, Help !!! Big Chief : No Shit !
And the doctor went to his backyard to find a
more powerful laxative, and gave it to the wizard,
who ran his heart out
to bring it back to his worshiped Big Chief.
But it still would not work.
The Big Chief was beggining to swell.
The wizard ran his heart out to
the chemistry, and cried desperately:
- Doctor, Doctor, Please, Help!!! Big Chief : No Shit !
So the doctor took a long look at the wizard,
and get down to his cellar,
where he took a tiny bottle
full of a bright green potion,
which was to be an even
more powerful laxative.
He gave the wizard the tiny bottle,
and the wizard almost flew
to bring it back to is hailed Big Chief.
The Big Chief drank the bottle
entirely before going to sleep.
Next morning, the doctor found
a curved and miserable
Indian wizard in front
of his chemistry door, crying:
- Doctor, Doctor, Big Shit : No Chief !
Voila pour la petite histoire.
Pretexte pour rager à la face du monde:
Je me suis fait pirater ma carte bleue.
A force de frénéter et compulser sur les achats en ligne, ça me pendait au nez.
Mais quand même.
Moi qui avait le vain espoir de passer enfin un week end tranquille, je peux me brosser, Martine.
Samedi ce sera allers-retours banque/comico.
Youpi.
Si un jour on me retrouve pendue avec le fil de la souris, faudra pas se poser de questions.
Je hais les banques.
J'aurai mieux fait de cacher mon fric sous mon matelas.
FUCK! FUCK!! FUCK!!!
Et fif la Fronze,
comme dirait ma chère mère.
Posté par Ablep autour de 17:20 2 Comme en l'air
mardi 21 août 2007
There's nothing you can sing that can't be sung...
Sympa, joli, ça sent bon la fleur d'oranger, la grillade, le cuir et l'<span style="font-size:130%;">iode, mais c'est trop touristique.
Et même si le touriste est bien, je dirai même trop bien reçu, il est cantonné dans son rôle, comme s'il allait s'offusquer de trop de dépaysement.
Exemple tout bête, alors qu'au Maroc, baragouiner deux trois mots d'arabe était hyper apprécié et aussitôt suivi d'un cours dans les règles, ici on fait comme si on avait pas entendu et on vous répond en français.
Grosses maisons et grosses voitures caches-misère, étalage de fric, à la surface bien sûr, mais la couche est dure à gratter.
Pour y parvenir, il faut déserter un petit peu les principaux pôles d'attraction du coin, et se rendre dans des coins plus isolés, genre campagne et montagne.
Là, on a une chance de manger autre chose que des frites et du tiramisù, mets apparament très en vogue dans le coin mais pas hyper locaux.
Le luxe de l'hôtel est lui par contre très appréciable: piscine d'eau de mer, qui tient plus du barbecue que d'autre chose, au vu de la quantité de saucisses rougeâtres en train de se faire rôtir du levant au couchant, au mépris de toutes les règles sanitaires élémentaires, ça entretient "activement" son cancer.
Plage privée, (et quand il y a la mer, je ne vois plus l'intérêt de la piscine, m'enfin chacun fait ses vacances comme il l'entend...), centre de thallasso-thérapie fourni en jeunes masseurs zélés, cafés et restaurants en tous genres, bref, Ze Big Foot.
A part ça, ben si êtes du genre traffiquant ou que vous voyagez avec un faux passeport, prenez l'avion de 1h du mat, les contrôles sont bâclés au départ, et à l'arrivée, vous risquez de tomber au moment où "ceux qui font tard le soir" sont fatigués et pressés de fermer avant que "ceux qui font tôt le matin" arrivent.
Un autre tuyau qui peut servir: la réticence des taxis à accepter les règlements en CB est légendaire, le coup est classique, il prétendent n'avoir pas la machine à bord où bien qu'elle ne fonctionne plus.
Il se peut parfois que ce soit vrai.
Maintenant, sachez que les taxis G7 ont tous obligatoirement une machine focntionnelle à bord. S'ils vous disent le contraire, ils mentent, et vous pouvez, si vous avez envie de faire chier, les menacer d'appeller G7 devant eux.
C'est un peu con, mais le savoir permet de rentrer tout de même chez soi quand vous avez atterri à 3h du mat' et que sinon vous êtes à pieds.
Bien sûr avant de passer aux menaces, demander gentiment en lâchant au besoin un joyeux "oh, mais vous êtes G7, vous êtes donc équipé pour recevoir les paiements en CB! Quelle chance!" qui a toutes les chances de ruiner toute esquive préméditée du chauffeur.
Aime Des Airs des Beatles...
Posté par Ablep autour de 12:45 4 Comme en l'air
Rangé dans: CHRONIKS ON ZE FUNNY SIDE OF ZE STREET
mardi 7 août 2007
Tripote moi la...
... cervelle avec les doigts !
Vous l'aurez compris en ces temps d'après seconde guerre mondiale cardiaque, il s'agit encore et toujours de se faire juter le caillou.
Aujourd'hui nous sommes le mardi 7 août 2007.
Ce soir il y a partouze générale sur la feurst nacheunale of ze boîtakaka.
C'est les vacances, Paris se vide de ses habitants comme si on avait tiré la chasse, et les touristes prennent leur place.
Mais le touriste, s'il est en règle générale à l'instar de son collègue l'autochtone, bruyant et mal élévé, a au moins cet avantage qu'il est étranger.
Il a une bonne excuse, pour être planté la au milieu du passage devant la sortie avec toute sa famille alignée façon les Daltons à son côté, et il a une excuse pour mettre 1h27 à acheter son ticket à l'automate.
Même si on est le 1er août, qu'il est 8h3o et que tout ce qu'il reste comme travailleurs sur Paris fait la queue derrière pour avoir sa carte mensuelle.
Le touriste à le droit.
Le touriste vient claquer son pognon.
Et en plus, en général, le touriste nique quand même l'autochtone sur les escalators, car le touriste, lui, possède la direction assistée.
Bref.
En fait c'est presque pas hyper difficile d'aller de l'avant.
C'est flippant, mais fesable.
Aujourd'hui le truc flippant neuf, c'est que je me suis levée ce matin en me sentant particulièrement insensible.
J'ai nourri l'espoir que ça m'arrive depuis des semaines.
Et c'est arrivé.
Ce que je veux dire c'est que ce matin, c'est la première fois depuis moulte moulte que je me réveille sans avoir fait de cauchmard horrible à cause de mon fucking in ou sub conscient qui, hyper subtil, se sent obligé de me faire revivre le truc de toutes sortes de façons, toutes plus imagées les unes que les autres.
Donc, il semblerait que j'arrive presque enfin a arrêter de m'apitoyer sur mon sort.
Et sur celui des autres également.
Décision difficile, lorsqu'on est atteinte du syndrome du chevalier blanc. Beaucoup moins une fois qu'on en a payé les conséquences une ou deux ou trois fois.
Voilà, c'est pas l'été, mais ça devrait, et moi je fais le ménage.
Posté par Ablep autour de 12:09 2 Comme en l'air
Rangé dans: CRISES DE TÊTE
vendredi 3 août 2007
Le coup de pied au cul....
... Goûté et approuvé par des milions de consommateurs avertis.
Would you please have the extrem kindness to put your shit together and stick yourself a spine?
Posté par Ablep autour de 15:51 2 Comme en l'air
Rangé dans: PANIER GARNI
mardi 31 juillet 2007
Moi Je Moi Je Moi Je Moi Je ....
Posté par Ablep autour de 12:33 5 Comme en l'air
Rangé dans: PANIER GARNI